(Initialement publié sur le blog original le 03/07/2016)

Rendez-vous pour rencontre autour d’un verre,
Se découvrir et remplir son questionnaire,
Pour connaître ses attentes et limites,
Après cela, tout s’est enchaîné très vite…

Contre toute attente, elle fit sa demande,
Me tendant un collier en signe d’offrande,
Se disant prête à son intronisation,
Mais redoutant sa première exhibition…

Pour sa première séance, je l’ai menée,
Vers une ferme isolée, abandonnée,
Elle s’est laissé bander les yeux, le cœur battant,
Avant que je découvre son corps tremblant…

Pour la première fois, elle était nue devant moi,
Je sentais sa gêne, ses craintes, son émoi,
Tout va bien se passer lui ai-je murmuré,
Alors qu’à un vieux pilori je l’entravais…

En vue de possibles cris, je lui proposais,
Un mors ou bâillon-boule qu’elle a refusé,
Pour qu’elle sente sa condition de chienne,
Je me suis vidé en urinant sur elle…

Sans en avoir le choix, elle a dû accepter,
Sans un mot, sans un cri, elle n’a pas bronché,
J’ai aimé l’humiliation de cette femelle,
Puis ensuite, fortement pincer ses mamelles…

A tous ses orifices je voulais goûter,
Je lui ai donc offert mon sexe à sucer,
Contrainte à l’aspirer en gorge profonde,
Jusqu’à ce que sa langue, son palais j’inonde…

Après, vint le moment des premières douleurs,
Passant derrière elle, je sentais sa peur,
Son corps tressaillant à l’idée de la fessée,
Que je n’allais pas manquer de lui infliger…

Toujours immobilisée et les yeux masqués,
Elle semblait redouter ce qui l’attendait,
Alors que je ne savais vraiment que choisir,
Cravache ou martinet pour la faire jouir…

Sans gémir, elle accepta les coups crescendo
Lui faisant rougir les fesses comme le dos,
Sa vulve dégoulinante d’excitation,
Montrait qu’elle appréciait sa soumission…

Vint alors, enfin, le moment de la saillie,
Dans son intimité, je me suis introduit,
Je l’ai alors baisée comme une chienne,
Pour qu’elle sente qu’elle était vraiment mienne…

Pour celle qui est prête, j’attends désormais,

De sa part, un contact avant de se lancer,
Discutons de tes attentes, de tes envies,
Faire connaissance n’est pas finir au lit…

(Initialement publié sur blog original le 24/02/2017)

Petit délire passager… imaginaire ou visionnaire ?...

Nouvelle rencontre prévue prochain mardi,
Je ne peux prévoir si je te verrai enfin,
Par ton accueil évoqué et parfois promis,
Te mettre à mes pieds et arriver à mes fins…

Resto avec ton collier, chose entendue,
Puis ballade ensemble sur le bord de mer,
Avant de te voir, sur un lit étendue,
Yeux bandés, entravée à te laisser faire…

Roulette, bougie, cravache ou autre chose,
Avec l’objectif de contrôler ton plaisir,
Tu obéiras, feras ce que j’impose,
Et peut-être sera autorisée à jouir…

Ta récompense ensuite tu recevras,
Avant une ballade riche en émotions,
Te délectant du jus que tu avaleras,
Je te mènerai sur ton lieu d’exhibition…

Cochonne lubrique, pure chienne salope,
Exposée, offerte à un jeune puceau,
A ses pieds et aux miens, comme une lope,
Je ne manquerai pas de faire quelques photos…

De sa langue et de ses doigts il te baisera,
Comme promis, ton œillet sera épargné,
Il te limera la bouche, puis te prendra,
Je serai là pour ma part, tes seins malmener…

Après tant de plaisir, le jeunot déniaisé,
Il sera temps de prendre chemin du retour,
Pour juste toi et moi, enfin nous retrouver,
Espérant que tu te souviendras de ce jour…

Nul ne sait si vraiment cela se produira,
En partie seulement, ou intégralité,
Possible car suivi d’une nuit dans mes bras,
Avant ou après essai de nouveaux jouets… 

(Initialement publié sur le blog original le 30/11/2018)

Suite à un récit soumise Louva sur sa dernière sodomie,
celui-ci m’a donné envie de rédiger à mon tour quelques lignes

sur cette pratique… qu’elle affectionne avec beaucoup de plaisir !...

Le front collé au sol et penchée en avant,

Fesses bien relevées, tu sais ce qui t’attend,

Dans une pose indécente, tournant le dos,

Alors que la cravache effleure ta peau…

Avant que mes doigts s’enfoncent dans ton antre,

Chienne prête à me recevoir dans ton ventre,

Appartenance totalement dépravée,

En recevant ma salive sur ton œillet…

 Je connais le plaisir que cela te donne,

 Dans ton esprit, le mot « salope » résonne,

Aujourd’hui, c’est ton cul que je vais fourrager,

Tu pousses un petit cri en me sentant rentrer…

Respiration saccadée, longs gémissements,

Indiquent que tu apprécies fort ce moment,

Tu serres les dents, tous tes sens sont en émoi,

Bien calée, ma queue s’enfonce au chaud en toi… 

Ton cul ouvert se fait lentement buriner,

Je te traite alors de « petite enculée »

Cochonne à souhait, tu cries de plus en plus fort,

Et le plaisir prend possession de tout ton corps… 

Totale symbiose et plaisirs partagés,

Pinçant tes seins, j’admire ton trou dilaté,

Entre cris et pleurs que tu ne peux retenir,

Saillie féroce jusqu’enfin t’entendre jouir…

Comme tu l’attendais, je me répands en toi,

Avant de tendrement te coller contre moi,

Les yeux fermés, nous échangeons un long baiser,

Ma crème coulant de ton anus éclaté…

LA PROTECTION PAR LE DROIT D’AUTEUR

Le droit d'auteur français est le droit des créateurs. Le principe de la protection du droit d’auteur est posé par l’article L. 111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI) qui dispose que « l’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributs d’ordre intellectuel et moral ainsi que des attributs d’ordre patrimonial ».

L’ensemble de ces droits figure dans la première partie du code de la propriété intellectuelle qui codifie notamment les lois du 11 mars 1957, du 3 juillet 1985, du 1er août 2006, du 12 juin 2009 et du 28 octobre 2009.

Dans sa décision n° 2006-540 DC du 27 juillet 2006, le Conseil constitutionnel a considéré que les droits de propriété intellectuelle, et notamment le droit d’auteur et les droits voisins, relèvent du droit propriété qui figure au nombre des droits de l’homme consacrés par l’article 2 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789.

PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DE LA PROTECTION :

Le droit d’auteur confère à son titulaire une propriété privative lui permettant de déterminer les conditions d’exploitation de son œuvre.

Les droits accordés aux auteurs se décomposent en deux séries de prérogatives aux régimes juridiques distincts. Les droits patrimoniaux (CPI, art. L. 122-1 s.) qui permettent à l’auteur d’autoriser les différents modes d’utilisation de son œuvre et de percevoir en contrepartie une rémunération. Les droits moraux (CPI, art. L. 121-1 s.) dont la finalité est de protéger la personnalité de l’auteur exprimée au travers son œuvre.

Cette propriété est de nature incorporelle. Ainsi, il convient de dissocier le sort des droits d'auteur relatifs à une œuvre de l'esprit de celui du support matériel dans lequel l'œuvre est incorporée. A ce titre, la vente du support matériel de l’œuvre (par exemple, un tableau) n’emporte pas la cession des droits d’auteur afférents à cette œuvre (CPI, art. L. 131-3).

Les infractions aux droits d’auteur sont sanctionnées pénalement (CPI, art. L. 335-1 à L. 335-10)

En cas d’atteinte à ses droits, le titulaire du droit d'auteur dispose de l’action en contrefaçon qu’il peut exercer soit devant les juridictions civiles ou administratives pour obtenir réparation, soit devant les juridictions répressives pour obtenir des sanctions pénales.

La violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d’emprisonnement (CPI, art. L. 335-2 s.). Des peines complémentaires - fermeture d’établissement, confiscation, publication par voie d’affichage de la décision judiciaire - peuvent en outre être prononcées.

Le code de la propriété intellectuelle entend par contrefaçon tous les actes d'utilisation non autorisée de l'œuvre. En cas de reprise partielle de cette dernière, elle s'apprécie en fonction des ressemblances entre les œuvres. La simple tentative n'est pas punissable.

La loi incrimine au titre du délit de contrefaçon :
- «toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d'une œuvre de l'esprit en violation des droits de l'auteur, tels qu'ils sont définis et réglementés par la loi » (CPI, art. L. 335-3).
- «le débit [acte de diffusion, notamment par vente, de marchandises contrefaisantes], l'exportation et l'importation des ouvrages "contrefaisants" » (CPI, art. L. 335.2 al. 3).

Source : http://www.culture.gouv.fr/culture/infos-pratiques/droits/protection.htm

A lire également ou à télécharger en PDF : http://www.commentcamarche.net/contents/269-le-droit-d-auteur-copyright

(Initialement publié le 04/03/2016)

La loi punit d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait de porter volontairement atteinte à la vie privée d'autrui "en fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l'image d'une personne se trouvant dans un lieu privé" ( article 226-1).

La diffusion d'un montage réalisé avec les paroles ou l'image d'une personne à son insu est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende "s'il n'apparaît pas à l' évidence qu'il s'agit d'un montage ou s'il n'en est pas expressément fait mention" (article 226-8).

 

Source : http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/peut-on-publier-n-importe-quelle-photo-sur-son-blog-ou-sur-sa-page-facebook-25-10-2011-1388690_47.php

(Initialement publié le 04/03/2016)

Pour cette séance, nul besoin d’effectuer une recherche au préalable, les participants seront trouvés sur place…

Ce soir, le Maître et sa soumise sont de sortie. Madame ne connait pas l’objet de la sortie ni le lieu mais elle a reçu des instructions précises concernant sa tenue vestimentaire à porter pour l’occasion. Elle doit être vêtue d’une jupe courte masquant à peine la lisière de ses bas maintenus par un porte-jarretelles. Pour le haut, un simple chemisier qui restera majoritairement ouvert pour laisser entrevoir le sillon entre ses seins. Sous ce chemisier, Madame doit porter un redresse-seins avec que le Maître puisse avoir accès à tout moment aux tétons de sa soumise. Comme lors de chaque sortie, Madame ne porte bien entendu pas de culotte, le tout recouvert d’un long manteau…
Le trajet étant un peu long afin de préserver la vie sociale de la soumise et de son Maître, elle porte également, autour de son cou, le collier de cuir offert par son Maître…

A tout moment de la séance, Madame sera seule apte à décider de poursuivre celle-ci ou d’y mettre un terme, par simple utilisation de son « safeword » et sans avoir à se justifier !

 Arrivés à destination, le Maître gare la voiture et intime à la soumise de se déshabiller entièrement, ne devant garder sur elle que son long manteau masquant à peine le haut de ses bas et son redresse-seins, sa paire de petites bottines et le port de son collier complètent cette tenue vestimentaire minimaliste choisie pour se présenter à l’entrée du sauna libertin choisi pour l’occasion…

Nous passons la porte d’entrée et sommes accueillis par un homme d’une quarantaine d’années. Pendant que nous nous renseignons sur le fonctionnement du club, je demande à ma soumise de retirer son manteau et de le porter juste sur son avant-bras et le propriétaire ne perd pas une miette du spectacle et semble particulièrement apprécier de voir la soumise presque quasiment nue…

Comme dans la plupart des saunas libertins, nous passons en 1^er par le vestiaire où la soumise n’a plus grand-chose à retirer. Je me déshabille et noue la serviette reçue à l’entrée pendant qu’elle enroule son paréo autour d’elle…
Comme nous ne connaissons pas les lieux, nous décidons d’en faire une 1^ère visite afin de savoir quels décors et matériels pourront être utilisés dans la soirée pour nous amuser. Pour cette soirée, j’avais au préalable annoncé à ma soumise qu’il n’était pas foncièrement prévu qu’elle se trouve partagée avec un(e) tiers mais que cela pourrait néanmoins arriver, selon le déroulement de la soirée et nos envies respectives du moment…

En revanche, la soumise était parfaitement consciente qu’elle serait confrontée à une séance en glory-hole – dont elle n’avait jusqu’alors pas vécu d’expérience - avec l’objectif de satisfaire – avec ses mains et sa bouche - autant d’hommes qu’il s’y présenteraient et elle avait accepté ce défi sans réserve !...

A la sortie du vestiaire, nous entrons dans la grande salle principale où se trouvent plusieurs banquettes et tables basses, le bar ainsi qu’une cage d’exhibition et une barre de pole-dance.
Nous décidons de ne pas prendre directement un verre mais plutôt de continuer notre visite et nous dirigeons donc vers un couloir semblant mener vers les différents coins-câlins, certains étant fermés par un rideau ou une porte et d’autres restant entièrement ouverts. Vers le milieu du couloir, se trouve une pièce avec 4 douches se faisant face et arrivés au bout du couloir, nous découvrons enfin le de glory-hole…
La cabine est munie de plusieurs trous sur les 3 côtés autres que l’entrée par laquelle nous y accédons tous les 2 ensemble dans la mesure où la soumise sait ce qui l’attend et que j’aime particulièrement la voir officier sur des sexes inconnus, tout autant que je tiens à assurer sa sécurité en ne la laissant pas seule d’un côté de la paroi !...
Je regarde ma soumise dans les yeux et l’embrasse tendrement avant de lui murmurer à l’oreille :
« Tu sais ce qui t’attend et ce que j’attends de toi petite chienne ?
- Oui Maître…
- Te sens tu prête à me satisfaire et me rendre fier de toi ?
- Oui Maître…
-Alors retire ton paréo car des hommes vont probablement jouir sur ton corps…
- Je sais Maître… »

Elle s’exécute et dépose le paréo dans un coin de la pièce et je la fais mettre à genoux, tout en soulevant ma serviette afin de lui présenter mon propre membre qu’elle prend directement en bouche et commence à sucer…
Il ne nous faut pas attendre longtemps avant de voir apparaître un sexe tendu dans l’une des ouvertures de la paroi et ma soumise abandonne donc docilement mon membre pour commencer à prendre en main ce nouveau jouet inconnu, le caressant et le masturbant avant de le prendre en bouche…
Je ne sais si l’homme de l’autre côté de la paroi a des craintes de se faire sucer par un homme mais il passe sa main par l’une des autres ouvertures de la paroi pour toucher et malaxer un sein de ma soumise, alors que nous entendons la voix d’un autre homme à l’extérieur de la cabine et s’adressant à celui que ma soumise est occupée à pomper…
« Il y a quelqu’un dans cette cabine ?
- Mmmmm…. oui, une bonne suceuse !
- Bien, si elle veut de la bite, on va lui en donner !... »
A ce moment-là, le 2^ème homme fait passer son membre par l’ouverture et ma soumise peut alors commencer à s’en occuper, faisant alterner sa bouche sur les 2 membres bien raides et de bonne taille…
Le 1^er homme ne met pas très longtemps à gicler sur les seins tendus de ma soumise, assez rapidement arrosée du sirop du 2^ème, lui offrant une quantité légèrement plus abondante !...
Les 2 hommes s’étant retirés, ma soumise revient vers moi pour continuer le travail entrepris auparavant mais n’a guère le temps de réellement bien s’occuper de membre puisque 3 nouveaux sexes font rapidement leur apparition par les ouvertures de la cabine…
Abandonnant une nouvelle fois ma queue, ma soumise se tourne vers les 3 autres, s’en occupant divinement bien avec sa bouche et ses mains et alors que je ne me prive pas de bien appuyer derrière sa tête pour que chaque homme puisse profiter de ses aptitudes à la gorge profonde !...

Je me délecte ainsi de longues minutes de voir ma soumise officier ainsi et me montrer enfin ses talents de chienne salope et c’est sans nullement rechigner qu’elle reçoit la semence des 3 inconnus dans le cou et sur sa poitrine !...

Une fois les 3 hommes repartis, ma soumise se tourne à nouveau vers moi pour me reprendre en bouche et, tantôt jouant avec sa langue, tantôt enfonçant ma queue au fond

Plus personne ne semblant se présenter à ma soumise, je l’aide à se relever et la prends dans mes bras pour la remercier de la réussite de son défi et la féliciter d’avoir satisfait 5 inconnus, ce qui me paraît être déjà très bien pour une 1^ère fois !...

Ayant eu interdiction de remettre son paréo, c’est entièrement nue que la soumise sort de la cabine, la poitrine couverte du sperme des 5 queues soulagées pour se rendre jusqu’aux douches où je l’accompagne. Cela peut paraître parfaitement anodin mais lorsque nous sortons en sauna, j’aime particulièrement – sans réellement savoir pourquoi - le moment où je peux exposer ma soumise à la vue de tous sous une douche et je trouve cela très suggestif, sensuel et érotique !...
Dans le couloir nous menant vers les douches, nous croisons un jeune homme – environ 25 ans – qui nous dit, avec un léger sourire en coin…
« Merci Madame, vous avez été parfaite…
- Merci Monsieur… » lui répondit simplement ma soumise.
S’adressant ensuite à moi, le jeune homme me demanda :
« Serait-il possible de jouer encore avec Madame ?
- Nous verrons dans un moment… peut-être… »

A la sortie de sa douche, ma soumise remet son paréo simplement autour de sa taille dans la mesure où je lui dis que ses seins doivent rester visibles par tout le monde et nous nous dirigeons vers le bar où nous commandons 2 consommations…

Naturell’ment et en toute tranquillité,
Après de mûres réflexions elle s’est donnée,
Ainsi j’ai pris son âme et découvert son corps,
Mais je ne veux son cœur… j’ai déjà eu ce tort !...

Première rencontre et première séance,
Prosternée à mes pieds, en émoi sont ses sens,
Initiation et marquage de son fessier,
Docile, elle reçut sans crier ni pleurer…

Vint ensuite la cire couler sur ses seins,
Corps frémissant à la caresse de ma main,
Lèvres entr’ouvertes laissant s’échapper soupirs,
Et pour ma part hâte de l’entendre gémir…

Première séance soft et vite achevée,
Il était temps pour moi d’alors la détacher,
A nouveau agenouillée elle me remercia,
Et goûta enfin l’offrande de mon méat…

Quand nous reverrons-nous, je n’en sais vraiment rien,
Peut-être dans un mois ou peut-être demain,
J’ai aimé poser mon souffle sur son corps nu,
Autant que la sentir pour le moins détendue…