Domination, Soumission et Plaisirs
Pour cette séance, nul besoin d’effectuer de recherche ni mise en scène particulière, hormis la réservation d’une chambre d’hôtel, les seuls participants étant le Maître et sa soumise…
Madame se rend seule à l’hôtel choisi par son Maître et prend possession de la chambre. Elle prévient son Maître de son arrivée et attend de recevoir un texto en retour, avec les instructions à
respecter. A réception du texto, elle passe son collier à son cou puis se dévêtit entièrement et place le bandeau sur ses yeux. Elle s’installe en position d’attente et d’offrande sur le lit, à
genoux avec les cuisses écartées et fesses bien relevées, les avant-bras reposant sur le lit, les mains jointes au-dessus de sa tête baissée. Elle ne sait pas combien de temps elle devra attendre
dans cette position, pas plus qu’elle ne sait à quelle heure arrivera son Maître, ni s’il sera seul ou accompagné…
Enfin, elle entend la porte de la chambre s’ouvrir puis se refermer. Elle frémit à l’idée que ce puisse être un client de l’hôtel qui se trompe de chambre mais reste tête baissée, tout en sentant
sa respiration s’accélérer dans un mélange d’excitation et de crainte…
Elle entend des bruits de vêtements qui tombent au sol puis le claquement cinglant du fouet sur le sol, celui-ci lui arrachant un sursaut qu’elle ne peut maîtriser. Elle sent 2 mains chaudes se
poser sur ses fesses, les caressant doucement puis commençant à les malaxer plus fermement pour enfin les écarter de façon très impudique. Le Maître passe sa langue autour de son anus
qu’elle sent s’ouvrir doucement avant qu’il n’y crache dessus. Soudain, alors qu’elle ne s’y attendait plus, un premier coup de fouet vient lui rappeler sa condition de chienne soumise et
totalement offerte, suivi par d’autres, de plus en plus rapprochés et cinglants. Madame serre les dents pour ne pas crier sa douleur car elle sait qu’elle n’a aucun droit de se plaindre et que
cela ne ferait qu’attiser la colère de son Maître et que la punition n’en serait qu’augmentée !
Combien de coups a-t-elle reçus ? Elle n’en a aucune idée mais sent ses fesses lui brûler et imagine les marques laissées par le fouet. Malgré cela, elle sent aussi son intimité ouverte et
ruisselante de cyprine, doux et inexplicable paradoxe entre douleur et plaisir…
Les mains de son Maître s’agrippent à nouveau à ses fesses puis glissent vers ses hanches. Le Maître la tient fermement et s’enfonce dans son vagin, entamant de lents va-et-vient qui font gémir et haleter Madame. Soudain, Madame sent un doigt s’enfoncer d’un coup sec dans son anus et commencer à tourner dans son ventre. Elle est terriblement excitée par cette scène surréaliste où elle se sent totalement abandonnée et offerte comme une simple chose, des éclairs traversant parfois son esprit en lui faisant se demander si c’est bien son Maître qui l’utilise ainsi ou s’il n’est que simple voyeur, peut-être en train de filmer la scène jouée avec un parfait inconnu !
Le membre raide de l’homme se retire et elle sent que l’on crache à nouveau sur son anus, ce qui la fait frémir davantage car elle se doute de ce qu’elle va désormais
endurer…
Sans aucun ménagement ni autre préparation, le sexe tendu s’enfonce d’un coup sec entre ses fesses qu’elle sent fermement écartées par les mains de son partenaire. Madame ne peut retenir un petit
cri, mélange de douleur et de surprise, aussitôt réprimé par une claque ferme sur ses fesses. Le Maître s’enfonce entièrement dans ses intestins, prend les cheveux de Madame dans sa main et tire
fermement dessus pour la contraindre à ramener sa tête en arrière. Il la sodomise sauvagement et bestialement et enfin, se laisse aller à jouir en elle…
Le Maître replace la tête de Madame en position basse et se rhabille. Elle sait qu’elle n’a pas droit au moindre mot et qu’elle doit conserver la pose jusqu’au départ de son Maître et reste donc
silencieuse…
Aucune parole n’a été échangée en Madame et son Maître depuis son arrivée !...
A tout moment de la séance, Madame sera seule apte à décider de poursuivre celle-ci ou
d’y mettre un terme, par simple utilisation de son « safeword » et sans avoir à se justifier !
découverte merci